samedi 14 mars 2009

AL HABIB MOHAMED 3LIH ASSALAM

PERSONNALITE DU
PROPHETE MOHAMED (SAW)

Lorsqu'il détestait quelquechose, nous le voyions à son visage, son visage reflétait la tendresse et la gentillesse, son apparence, la douceur, jamais il ne disait à quelqu'un en sa présence ce qu'il n'aurait pas aimé entendre, par pudeur et par générosité. Il était parmi les hommes celui dont le coeur était le plus ouvert, celui dont le langage était le plus véridique, celui dont le caractère était le plus doux, celui qui dans ses relations se montrait le plus généreux, celui qui lui demandait quelquechose, il ne lui donnait jamais congé sans le lui procurer ou bien, il lui adressait des paroles rassurantes, il était ainsi à la grandeur de son caractère, ouvert à tous de sorte qu'il devint pour tous un père et que tous bénéficiaient auprès de lui des mêmes droits.

Il était constamment souriant, accommodant et sociable, il ne refusait jamais de recevoir et gardait toujours le sourire, il lui arrivait de plaisanter avec les Compagnons, il se mêlait à eux et s'entretenait avec eux, il jouait avec leurs enfants et il les faisait s'assoir sur son giron, il répondait à l'invitation et rendait visite aux malades dans la partie la plus éloignée de Médine, il adressait le premier le salut à celui qu'il rencontrait, il serrait la main en premier à ses compagnons et ne la retirait pas avant que l'autre ne retire la sienne, il honorait son hôte et il arrivait même qu'il étendit pour lui son habit, lui offrant son propre coussin et le persuadant de s'y assoir s'il refusait.

Il ne coupait la parole à personne, et il interpellait ses Compagnons par les surnoms qu'ils préféraient ceci pour les honorer, tel était le Prophète (saw) décrit par ses Compagnons, ce père de famille, un grand homme, un chef spirituel et si modeste à la fois, un homme choisi, l'élu d'Allah, envoyé au monde comme miséricorde.

"J'ai cinq noms : je suis Mohamed (le louangé), je suis Ahmed (le plus glorieux), je suis Al Mahi par qui Allah efface l'infidélité, je suis Al Hachir autour de qui les gens sont rassemblés (au jour du jugement) et je suis Al Aqib (le dernier des Prophètes)."

Il était Al Amine, le digne de confiance à qui les gens confiait leur bien sans douter de son honnêteté. Il avait en lui les qualités que d'autres n'avaient pas ; certains étaient réformateurs au niveau social, politique, intellectuel, mais lui le Très Saint Envoyé (saw) fut un réformateur dans tous les domaines, réformateur n'étant pas son statut mais Prophète d'Allah (saw), le plus beau des attributs qu'on puisse lui donner.

Vous ne devez pas le considérer comme supérieur à l'homme, un jour, alors qu'il ramassait des brindilles pour faire un feu, un de ses compagnons nous raconte "Laisse moi faire lui dis-je !" "Pourquoi ? répondit-il" "Tu es le Prophète d'Allah, tu n'as pas à t'échiner de la sorte pour faire un feu !" alors, il m'a regardé et a murmuré "Allah n'aime pas celui qui se considère supérieur à son prochain", alors je me suis allongé et je l'ai observé, il s'est arrêté brusquement et s'est redressé de toute sa taille, s'est approché de moi " Oui, je suis le Prophète d'Allah, mais pourtant je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi".

"O Croyants, si vous adoriez Mohamed (saw), apprenez que Mohamed est mort, mais si vous adoriez Allah, alors sachez qu'Allah est Le Vivant" C'est sur la récitation de ces deux versets du Coran et sur cette parole qu'Abou Bakr (raa) s'adressa aux Croyants.

Mohamed (saw), Sceau des Prophète, mourut à Médine le 8 Juin 632, laissant un trésor culturel, spirituel basé sur l'Unicité d'Allah et l'amour de l'Homme envers ses semblables" Qu'Allah accepte ce témoignage de notre part "O Allah, nous attestons que Mohamed (saw) a bien transmis le Message et qu'il nous est parvenu".

RACHID EL OUALI

Biographie de Rachid El Ouali

Né le 3 Avril 1965, dans un quartier populaire à RABAT, il est issu d’une famille nombreuse et modeste. Ce jeune prodige a eu un parcours oscillant entre deux univers où difficulté et chance arrimaient au même port.

Au cours de sa tendre enfance, très souvent cloué au lit, suite à plusieurs maladies successives, il se réfugie à la lecture, et porte sa prédilection pour la litterature et les arts,... et à faire le saltimbanque dans l’hôpital pour faire oublier la douleur aux autres patients. c’est ainsi qu’il fait ses premiers shows live devant les médecins et les malades.

Son Bac en poche, Rachid EL OUALI, ayant passé un concours d’Art Dramatique « pour rigoler », se vit admis au prestigieux cours de Mr Abbes BRAHIM, qui était le grand maître de l’Ecole d’Art Dramatique du Théâtre National Mohamed V à Rabat. Il délaissa donc les études classiques pour se consacrer au théâtre. Malgré les dires de son entourage qui lui prédisaient un échec dans cette voie, il a tenu tête car les métiers de fonctionnariat ou autres n’étaient pas pour lui.

Pendant 4 ans, ses cours avec Mr BRAHIM porteront ses fruits, et il monte sur les planches pour la 1ére fois, en 1986 , dans un petit rôle, avec un cachet de 70 dhs. (7 Euros).

Cela a été le point de départ pour une carrière dont il pensait un jour toucher la lumière.

Puis à l’age de ses 28 ans, cette lumière est arrivée. Celle ci allait éclairer son futur et surtout réaliser ses rêves.

... tout commence et s’enchaîne alors très rapidement. De petits rôles dans des pièces théâtrales , puis dans des séries télévisés pour la RTM ( 1ére chaîne marocaine) le poussent rapidement vers des premiers rôles, ceux du jeune homme sympathique et serviable (ce qu’il est réellement) , et suscitent déjà une petite admiration dans le cœur de quelques marocains , et de beaucoup de ...marocaines.

Ensuite, c’est le cinéma qui lui ouvre ses portes. Un troisième rôle dans « UN AMOUR A CASABLANCA » de abdelkader LAGTAA, le prépare à être consacré meilleur second rôle au festival de Tanger en 1995 pour le film « VOLEUR DE REVES » de Hakim NOURY. Il sera ensuite sollicité pour plusieurs longs métrages à succès, comme l’excellent « MEKTOUB » de Nabil AYOUCH, qui sera présélectionné aux OSCARS en 1998, le merveilleux « KIED ENSA » de Farida BELYAZID , qui sera lui aussi primé dans plusieurs festivals internationaux, et le grand comique de l’année 1999 « DIABETIQUE ET HYPERTENDUE...ET ELLE REFUSE DE CREVER » de Hakim NOURY qui a battu tous les records d’entrée dans l’histoire du cinéma marocain. Bien sûr, la liste est longue, mais n’oublions pas le très poignant film de Mohamed ISMAEL « ET APRES... » où il incarne un jeune dealer de haschich, obligé de faire ce métier pour subvenir aux besoins de sa famille, et obligé de devenir le gigolo de ...Victoria ABRIL. quatre ans plus tard, mohamed ISMAIL devient le producteur de son premier court métrage : NINI YA MOUMOU.

Dans des rôles de Prince, Homme d’affaires, rôles comiques, dramatiques, tout lui réussi. il faut avoir cette qualité extraordinaire de pouvoir s’adonner aux différents rôles proposés, et de les jouer avec amour et professionnalisme. Rachid EL OUALI prend le soin de choisir ses rôles pour pouvoir ensuite donner le maximum de lui-même. Que le producteur et que le réalisateur soient satisfaits de son travail, tout comme le public, qui est vraiment derrière lui et qui attend toujours son dernier film avec impatience !

D’ailleurs, c’est grâce à ce même public, (de plus en plus nombreux) que MAROC TELECOM lui a offert le plus gros cachet jamais eu par un acteur marocain, pour vanter les mérites du téléphone fixe , lors d’une grande campagne publicitaire.

Ce n’est pas pour rien que le magazine L’EXPRESS international, a inclus Rachid EL OUALI en couverture parmi les 100 personnalités, tous métiers confondus ,qui font bouger le Maroc. Et que le who’s who in morocco inscrive son nom dans sa prestigieuse liste.

Rachid EL OUALI a prouvé lors de tous ses déplacements à l’étranger ,notamment dans les Festivals Internationaux que le cinéma marocain était là et que celui ci pouvait toucher un grand public étranger . il est aussi toujours présent dans toutes les manifestations humanitaires, et spécialement pour la cause des handicapés.